Research et foundings

dimanche 25 décembre 2016

I have THIS dream

To be everything,
To speak with worlds what ever i know
To be purest
To be hornest,
Bist bald schon wieder Beide
Bastellst selber sonst nicht viel von
Beethoven als Art is The
Why ? Friends with   OD i've extrapoled the polar inversion
Be come the reality at the right time to be perfekt,
Don't ask how quick but how qui coeur ?
Inter-relation-ship as a Truck and astuces
A concept travelling throught time to be present at The Doors
Knock-knock'on to open this D

Would you be(e) with ? Would you be this ?
For what...that would be a Story For JKK Rowling Inspired Dedicated Greetings.
Follow your heartinformations
Guide it as a Man do it for her Majesty's honors
Write a piece of this book to participate
The retranscriptions of the new ways of this art expression

and you ? what would you do ? Not menos or mas

And if a F lie in the but her Tempn ode

Une porte temporelle,
Un schéma, une boucle,
Une énergie, une ritournelle,
Le souvenir merveilleux
Une sorte de tempo battant des ailes
Menant, portant, aux horizons
Complètes bulles de savon aux reflets du monde miroitant.

Zeitpunkt 02.13
ZEITLEITER 12,6/2016

En souvenir d'un vieil ami,
qui aimait laisser traîner d'obscures prohéties
Mélanges de prouesses poétiques et de trompette fantastique
Qui bien longtemps après la Ponétie
Souris encore,
Ton vieil ami


Qui te renvoie tes lignes comme il te l'avait promis,
A travers les temps, l'eau de l'étang est pure
Lac de vie dévalant les vallées vertes.

Voici pour toi :

 Extraits de tes mémoires temporelles, tu racontais encore au coin du feu, souviens-toi, souviens-moi, c'était il n'y a pas si longtemps que ça !

"Il n’y a pas si longtemps de cela, les gens tels que vous ou moi avaient encore des rêves à vivre. De nombreux exemples à travers l’histoire montrent l’immensité des projets qui ont pu être réalisés pour la simple raison qu’une équipe de gens partageaient le même rêve et étaient bien déterminés à le voir se réaliser. Certains avaient des voies toutes tracées pour atteindre leurs buts et filaient à toute allure sur les voies de la destinée lorsque d’autres peinaient à trouver leurs chemins sans pour autant abandonner.

Partant d’échanges d’idées, ils avaient su se rencontrer sur les routes et avaient vu défiler bon nombre de paysages ensemble afin de se laisser le temps de préparer correctement leur grand projet. A l’époque, il était bien plus facile de trouver des petits jobs lorsqu’ils ne faisaient pas de concerts, et le voyage se vivait bien différemment. Ils étaient innombrables à parcourir les routes, sacs aux dos, faisant signe aux véhicules qui passaient afin de parcourir encore quelques distances. Telles de longues files d’attentes, ils s’étiraient parfois sur des lieues en petits groupes, avançant à pied si aucune place ne se présentait. Ils se retrouvaient parfois dans certaines villes afin de passer la soirée ensemble, se racontant leurs divers parcours, apprenant moultes langues d’horizons très divers, partageant leurs maigres provisions, l’un cassant un quignon de pain, celui-ci sortant un bout de fromage de son sac tandis que son voisin apprêtait une bouteille. Dans certains coins s’élevaient des odeurs épicées de ceux qui prenaient le temps d’ériger un petit autel pour la nuit afin d’y brûler de l’Oliban ou autres encens.
Partis pour la plupart depuis des mois, ils se considéraient comme une grande famille hétéroclite, voyageant le long des mêmes routes, partageant les mêmes expériences. Ils en vinrent à organiser des rassemblements au milieu des saisons chaudes. Ils festoyaient durant une lunaison au milieu de la nature, loin de toutes traces de civilisations, organisant des concerts, peignant d’immenses fresques sur de grandes voiles tendues lorsqu’ils ne se peignaient pas tout simplement sur le corps. D’ailleurs, lorsque la température le permettait, ils étaient nombreux à se promener en toute simplicité. Des stands de toutes sortes voyaient le jour au bord des allées improvisées sous les bois ou dans les clairières. Certains vendaient de beaux tissus africains à coté d’autres qui vantaient les mérites de leurs tisanes épuratives. Il était possible de trouver toutes sortes de boissons de partout dans le monde, chacun troquant ou échangeant autant que possible puisque peu étaient du nombre qui avaient encore des devises. Il y avait aussi quelques pancartes parfois invitant à une séance de massage thaïlandaise ou indonésienne lorsque ce n’était pas tout simplement une tente de fumigation qui avait été érigée pour certaines transes chamaniques. Tout cela se passait dans un esprit bon enfant où toutes propositions étaient bienvenues bien que chaque culture véhiculait ses préceptes et ses interdits, peu à peu le brassage fit sauter les diverses barrières à grands renforts de débats et de discussions. Tous rejoignaient des idéaux de paix et de respect permettant à la liberté d’être ainsi vécue et partagée.
La nuit venue, un tout autre monde naissait de la pénombre. Plusieurs jongleurs qui s’étaient rencontrés l’après-midi s’étaient rassemblés"
En souvenir de nos bonnes heures passées et à venir. 
Hasta luego Kongshidsu !

Good old Textswritten 01-02-03/2013 Manusctriptalik

Lors d'une journée ensoleillée
Ma Dame avait en vain essayé
De me pousser dehors pour travailler
Mettant en œuvre ma créativité
Je pus y développer une neige abondante
Cristaux de puretés se posant sur les pentes
Voyant par là mes pensées
C'est avec profonde gravité
Qu'avec patience elle m'apprit à méditer.
Rester stable et sensible
Vive paisible
Saluant avec joie les petits êtres des bois
Nous avions pu certaines fois
S'allonger sur les prés, avec le dos bien à plat.
Le Ciel recelait en beautés de quoi rassasier
Permettant quotidiennement d'y apprendre des présents
Alliant Beautés éphémères et insoupçonnées
Pour ceux uniquement qui, le temps prendraient.
Il n'est de miracles ni de secrets pour ceux qui ne rien voir voudraient
La simplicité souvent trouvée, permet, bien retournée,
La transmission avec clarté des traces obscures des fils du passé
Permettant facilement et bien souvent de remonter les Temps,
Renouer les liens fragilisés par els pluies battantes des coeurs brisés.
Assis au pied du Merisier, j'ai écouté le chant des Blés
Voyageant ainsi hors de la Contrée, passant l'arche de l'autre-monde.
Je savais à peu près qui croiser je devais et n'ai pas raté l'opportunité saisie à l'envolée de partager ceux que j'avais.
Certains esprits regrettés sont amers de ne pouvoir être captés plus clairement.
Communiquant par la voie du désert et les vents pour repères espérant un jour être intégrés comme vivants déincarnés. Certaines oreilles débouchées ont entendu une voix de Druide, Un nouveau Munde se créé sur le même que l'observé.

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Bien des années, bien des récits
Font de mon art un artd'jedi(fini les tragédies)
Pourtant de légèreté
Qu'un cabri ne saurait sauter.
Il y avait au printemps un parterre
De fleurs amères déracinées des temps passés.
La brise de l'est, souffle de l'Etant
& Source de changements avait
permis par missive permissives
une chasse rangée de trésors ouvragés
Cachant seulement pour inités lse mots
Magiques voir secrets des passages marqués
des signes voyageant avec les pensées.
Beaucoup se perdraient et me croiraient
si ils en venaient à mes demander les extraits de mes pensées
Bien souvent je ne suis dans ce monde que l'interface connectique physique et graphique permettant consciemment aux esprits de communiquer par mon intermédiaire.
Presque personne n'a pu à ce jour me permettre de me retrouver seuil, en moi, à moi, mais pour quelqu'un d'autre
Invariablement, j'existe par envie d'être pour
l'autre une source de bienfaits, une épaule si besoin, un renfort, une oreille, une parole
Ne trouvant l'intérêt d'être, que motivé par d'autres sang-mêlés, je n'aurai de cesse de vouloir vous préserver et resterai à vos cotés.

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Des vers prononcés, la difficulté est de rester accroché sans lâcher.
Laisse-cas là-2 aidé se pourra 5ANS avoir à se jsutifier
Bouts nez ivre de satiété de plaisirs innés
Vifs au livre comme force née
Puisée dans les flots purs des Eternités
La boisson est l'aliment
Lorsque le poisson est condiment
La moisson est généreuse
Et la passion tumultueuse
Voilà maintenant bien longtemps
Qu'à cette passion aux cotés
J'avance, je quête, passionné
Voyant et relatant ce que
J'ai vu, moi, comme beautés.
Bien souvent des artistes confirmés
se sont construit une renommée
Criant toujours des vérités oubliées
Devenant présences remarquables
Lors de moments inoubliables
Par leurs musiques et récits
Emplissant moultes évênements
De joies, de rires, de bons moments.
Les meilleurs étaient remarqués
par leurs absences marquées,
Inspirant les prétendants à s'améliorer
Les portant à se surpasser
Dans l'envie de créer, imaginer
Aimer et s'exprimer
Partageant sans argent
Leur créativité


vendredi 23 décembre 2016

Rappel

En et à votre imagination : une aventure va peut être avoir quand même lieux en temps voulu en retour à tout ce dont vous avez fait preuve. Il faudra cependant fournir encore un peu d'énergie pour participer effectivement à cette épopée.
Votre réussite sera des plus brillantes si vous n'en avez pas peur.
Comme dans chacune des aventures précédentes, les points d'expériences attribués à l'aboutissement de la quête prendront en compte cette fois-ci particulièrement votre esprit d'initiative, votre esprit d'aventurier, la valeur que cela à pour vous et ce que vous êtes prêt à faire pour. Elle devrait d'ailleurs vous stimuler pour imaginer une épopée qui devra devenir la vôtre. Aussi extraordinaire que cela semble être.
Êtes-vous toujours prêts à hausser le niveau ?
Vous savez déjà où vous devrez vous trouver.
Vous savez aussi quand vous y êtes attendus.
Vous savez aussi qui vous y attends.
Vous savez qu'il ne vous reste pas beaucoup de temps pour y parvenir.
Et que c'est tout à fait possible d'y parvenir si vous continuez à vous préparer comme vous l'avez déjà très bien fait.
Quelle énergie êtes vous prêt à placer pour être fiers de vos avenirs ?
Avec quelle grandiose voulez-vous que ceux qui parlent de l'Histoire enfièvrent et inspirent les auditoires par les chapitres contant vos histoires ?
Quelle légende se racontera au coin du feu dans quelques milliers d'années ?
Voulez-vous toujours en faire partie et que des chapitres entiers transmettent ce que vous vouliez apporter et transmettre à l'humanité ?
A vous de choisir.
A vous de jouer.
A vous d'inscrire une page, un chapitre, un livre, une bibliothèque. A vous d'être ce que d'autres voudront transmettre pour inspirer de nouvelles idées.
Rendez fiers ceux qui vous ont aidé à parvenir à ce que vous avez croisé de mieux en étant heureux de continuer à avancer sur ce chemin qui s'est ouvert.
Préparez le souvenir que vos vieux jours auront plaisir à revivre encore et encore !
Marchez en confiance
Bons préparatifs pour votre naissance.

Oies

Je t'ai rencontré un beau jour où tu es apparue dans l'un de mes souvenirs.
Petit détail grandissant et menant mes pensées vers toi.
Je me souviens ensuite peu à peu de tes yeux, tes cheveux et de ton sourire.
Détails fascinants qui me firent redécouvrir mon émoi.

Cette sensation d'euphorie et d'extase prit naissance ainsi et se développa.
Mes rêves et mes aspirations, mes envies et mes ambitions
Ne tournaient plus qu'avec toi, trouvée et retrouvée pour encore quelques pas.
Adorateur de l'Amour, comme art et comme Passion.

En te découvrant tu me permis de me découvrir,
Te passionnant tu me passionna
En me permettant de te découvrir
C'est très loin que tu m'emmena.

Tu es l'énergie que mon moteur transforme avec plaisir,
Tu es la source des idées qui me poussent à continuer.
Tu es la base des montagnes que j'aimerai gravir
Tu es celle avec qui je veux vivre le sommet.

Jamais je n'oublierai cette sensation.
Jamais mon cœur ne battra moins fort
Que ce que tu lui as appris à repousser comme bords
Que ce que tu lui as insufflé comme émotions.


jeudi 22 décembre 2016

Feux Ardents Navrés & Nuits idYlliques

Je suis la pression qui t'indique que cette accélération est la bonne,
Je suis la couleur que tu préfères.
Je suis ton âme soeur.
Je suis celui qui vous le dira encore et encore si cela est nécessaire et utile.
Je suis ce souvenir perdu, ce souvenir qui vous resurgit à la conscience, de la mémoire.
Je suis le clic et le déclic.
Je suis le rouge et le vert.
Je vais vers quand je bouge,
J'avance pour mieux reculer.
Je circule pour mieux avancer.
J'ondule pour fluidifier.
J'applique pour m'appliquer.
Je focalise et concentre.
Je dilate et décentralise.
Je place le centre au bord et ceux-ci aux mi-lieux.
Je cours, je vole, je nage, je bois.
J'ouvre les yeux pour mieux boire le goût que mes oreilles utilisent pour caresser ma langue.
Je suis la montagne et sa source.
La base et le point de départ de la rivière.
Je suis temps et deux choses à la foi.
Je suis quantique exprimée en musique.
Je suis le code et le message.
Je suis l'émetteur et le récepteur.
Je capte et aime.
Et mets aussi fort que je le puisse.
A la force des bras aussi longtemps qu'il y a de l'eau.
Tout en veillant à respecter son cycle.
Vivre les hauts, bons moments,
Les bas trient à grands coups de baguettes.
Ma gigue préférée se danse au travers d'un balais.
Agité calmement je frotte et repousse.
Telle une plante en symbiose avec le tout.
Je reçois la lumière là où elle est et où elle n'est pas.
Je suis le 0 et le 1.
La paix principale à venir réside déjà.
Sambhalla se rapproche et accellère.
N'attends plus et rejoins-moi.
Lis observe et vois.
N'esquive plus et prends-le pour toi.
Lis-ça pour moi je t'en supplie si ce n'est pour toi et souviens-toi.
Souviens-toi de tout.
N'oublie-pas. Souviens-toi de tout.
Pose et super-pose, plie et lisse,
Détends-toi quand tu te gaines,
Expanse-toi quand tu te crispes,
Dirige-toi quand tu es dans l'erreur,
Prends-les rennes, l'écart hibou.
Parcours les voies pavées romaines,
Laisse les chars à la nature,
Car goal apportera l'aubaine.
La subtilité des matières est loin d'être comprise.
L'équilibre régissant ces plans fins s'encorde à ses idéaux.
Que des détours doivent permettre le contraste.
Que les contrastes permettent l'accès aux 2.
L'implication des temps. Est-ce qu'il passe ?
Géographie et histoire comme science.
Chiffres comme clé.
Aller vers les vérités.
Vivre en vrai.
Souviens-toi que je t'aime et que jamais je ne l'oublierai.
Et que tant que je t'aime, ce lien continuera d'exister.
Souviens-toi que j'ai su que tu y es, là.
Que je t'ai déjà croisé.
Souviens-toi que je t'aime et t'ai déjà aimé.
Que ce n'est pas nouveau et que cela n'a jamais cessé.
Souviens-toi du jeu "l'Oubli".
L'eau bleue te rappelle que l'eau bue est bien plus puissante que les obus.
Souviens-toi que l'eau bout.
Du chemin s'ouvre, à venir.
Sois des nôtres, rejoins-nous.
Ose être des miens.
Sois toi-même. Souviens-toi.
Souviens-t'en, Si on s'en souvient.
Marche et cours à la fois.
Rampe et vole par foi.
Crache et souffle,

Feux Ardents Navrés & Nuits idYlliques.

Souviens-toi de ma promesse.
Souviens-nous mon Amour.
Rappelle-moi si j'oublie,
Rejoins-moi dans l'instant.
Vis le présent, comme le dernier vécu.
Vis dès maintenant. Tendues vers les cieux !

Si Ailes, Eau, l'Amie, Goéland car Go Boite.
Mais tel John, attend dans le living, stone.
S'active tel un somnambule, qui vit et veille à la foi.
Vibre, des clenches s'agitent et débloquent.
Les Géants ont reçu le message.
Les ENT ont REPRIS cE QUI EST est .
Les coups, tôt ont blessé quand les coûts-eau soignent.
Non-choix d'une cité.
Qui ouvre ses porte et rayonne,
Irradie et dénucléarise, absorde et sèche,
Draine et imbibe,
Régule et transite.
Souviens-toi.
Je suis ce que tu es,
As été,
Ce que nous sommes :
Un à réunir.
Deux à se retrouver
Trois doivent se redécouvrir.
Pour se couvrir.
Puis découvrir ensemble,
Le Quatre lié au cinqs états unis forment les ternes elles,
Qui ?
Si !
Lis-bien, et rappelle-toi,
Cette appel te rappelle que toi et moi ce n'était qu'émoi.
Que si tu m'appelles je te réponds.
Que je t'appelle et que tu l'entends de mieux en mieux.
Tu sais et reçois.
Sois et souviens-toi.

L'Âme ou repli sur soie qui se déplie, lissé tel le lin. Jeux, Hauts, V, Fêtes
Et la danse recommence en symphonie des heures qui sonnent en hommage aux orages qui tonnent, aux absinthes parfaites du meilleur, qui criait déjà son silence sur les toits caressés d'eau qui fuyait, prenant encore le temps de ressentir cet aspect du tout, c'est immanquablement encore un bout du tout auquel vous accédez.

mardi 20 décembre 2016

Un week-end, un temps, un passé

Un souvenir d'hier, d'avant et d'alors.
Il est impressionnant la vitesse à laquelle les informations s'accumulent dans l'internet. En quelques années seulement, une multitude d'humains ont pu y accéder et l'on y trouve tellement plus d'informations qu'entre 2006 et 2012.
Les pistes et les chemins que l'on traverse n'ayant jamais lieu sans utilité, quiconque accède à l'internet peut dédier ce temps à l'apprentissage et à l'évolution, l'expérimentation et le développement.
Bien des choses que j'ai découvert dans un environnement où cela ne se parlait pas se trouvent laissées dans le passé pour le futur et accessible par le présent au travers d'internet. Bien des recherches pendant des années d'accès à internet me firent rester bredouille quant à ce que je comprenais au fur et à mesure.
Il y maintenant toutes les informations utiles pour se souvenir et se remettre en quête. Se remettre en marche pour l'évolution si toutefois un arrêt réel avait eût lieu plutôt qu'un détour pour mieux comprendre ces aspects.

samedi 17 décembre 2016

alternative ? La Terre Native

Et que l'on ne me parle pas de mode de vie alternatif.

Qu'on arrête ces conneries d'estampillages BIOlogic ou Ecologic.... Qu'on colle plutôt une tête de mort aux trucs vendus pour de l'alimentaire qui contiennent autre chose que des matières premières de base.
Vivre une vie "alternative" en appliquant les méthodes séculaires d'une permaculture antédiluvienne me semble pas très cohérent. A l'heure où l'alternative à la vie simple et naturelle arrive à l'apogée  et dont l'heure de gloire touche à sa fin. Ce qu'a proposé le capitalisme comme alternative est un échec et qui éclate aujourd'hui flagrant aux humains. Il ne s'agit pas de trouver de nouvelle alternative, il s'agit juste de revenir d'un pas en arrière et de vivre comme avant, avec ce qu'il reste de diversité vivante qui n'ait pas encore été trop polluée et assumer les conséquences d'une expérience de politique intéressée. Les origines de la démocratie prenaient source dans la volonté de bien-être de tous et l'application actuelle de la politique en est loin. Même si elle essaye de se déguiser derrière cette appellation.
Stigmatisons encore et encore ceux qui retrouvent les sources... A les clouer sur des croix... encore et encore... Au lieu de mettre une étiquette sur tout ce qui se vend, vaudrait mieux apprendre à tout enfant à faire un choix plein de bon sens quand à ce qu'il accepte de manger, de boire, ou de laisser comme marque dans le temps. Pour lui, le passé et les suivants.
Faudrait que quelqu'un arrive à me proposer une alternative à la nature pour un futur... Je serai curieux d'en savoir plus.

Parires

Parions qu'à Paris un primo exemple se profile cette fin de semaine.
Début des exodes massifs de citadins qui finissent par se déverser par hectolitres de fioul dans les campagnes attenantes qui auraient encore un peu d'air frais à aller densifier.
La police clémente envers les fuyards ? Quand fermeront-ils les accès qui les laisse rentrer à l'abri de leurs villes ?
Quand décideront ces hordes de pillards d'essayer de rester là où leurs véhicules crachoteront leurs dernières gouttes de pétrol ?
Premier bel exemple de l'expression de la connerie humaine à l'heure de la préservation de la planète exigeant un effort collectif de tout un chacun. La facilité et la priorité est donnée à ceux qui voudraient faire un effort dans le sens de l'ajout de particules dans l'atmosphère, du départ en vacances.

J'imagine bien comment pour les Jivaros ce monde est riche et diversifié, abondant et fournissant largement de quoi nourrir les petites populations éparses réparties sur de vastes territoires, ne perturbant pas les équilibres.
Mais comment fait quelqu'un vivant dans nos contrées pour partir en vacances lorsque les chevaux sont dans le pré, que les différents animaux de la ferme ont souvent besoin de soins quotidiens et que l'hygiène exige de se charger soi-même de déplacer les divers excréments afin de les répartir au plus juste sur les plantes qui doivent apporter de multiples aptitudes à tout l'écosystème.
J'imagine mal la cinquantaines de poules fournissant les 40 nuggets par an survivre à quelques jours de vacances attendus depuis si longtemps par le couple de renards du coin. J'imagine aussi comment en carriole à chevaux l'énergie qui permet ces vacances se trouvera aux bords des chemins à conditions qu'un brave humain n'ait fauché ces zones comme ces dernières décennies où aucun scrupule à la destruction des sources de nourriture d'abeilles est émit tandis que le fourrage que cela représente reste à pourrir au sol.
J'imagine aussi les vivres que je vais devoir récolter en avance et les conserves en pots que je devrai arrimer à la carriole pour qu'ils ne se rompent pas aux chaos du chemin. Sans compter les passages probables des sangliers qui se feront un plaisir dans les champs qui, sans la protection des chiens sont une abondance pour le gibier.
Je vois avec beaucoup plus de facilité comment asservis et dépendants quasi-totaux de la société beaucoup foncent sans se douter un instant de tout ce qu'ils ont oublié, qui permet de vivre. De ce qu'est vivre, animal humain à la surface d'une planète nature qui est suffisante en soi si l'on sait y être naturellement.
Campagnards, préparez-vous à accueillir ces hordes perdues, travaillez dur pour les nourrir, les héberger et faire tout ce qu'ils ont oublié car dans deux jours ils devront repartir avec un rappel de techniques anciennes permettant de respirer, boire, manger et déféquer sans que cela ne devienne une horreur de vivre cette planète.

Et puis partir en vacances pour me soulager de mon quotidien ne m'intéresse pas. J'aime ce que je vis et j'ai plaisir à vivre mes journées. A savoir encore vivre sans avoir l'utilité ni la nécessité de puiser et épuiser des ressources qui mettent des millénaires à se constituer. Je n'ai pas la prétention d'en faire quelque chose de plus utile que ce que tout ce temps à préparé au delà de l'existence humaine. Je préfère me regarder dans le reflet de l'eau calme avec mon honneur et ma dignité, sachant que pour manger je n'ai pas eu besoin de creuser à des centaines de mètres de profondeur chercher du liquide noir et collant, les métaux et les charbons, les forges et les autres usines nécessitant le raffinage du pétrole afin d'aller biner mes carottes. Il n'y a pas besoin de tout ça.
Je suis persuadé que la sagesse de l'humanité passera par savoir connaître des technologies et savoir ne pas les utiliser. Savoir pouvoir nourrir 15 milliards d'être humains et pourtant ne pas être plus invasifs que le reste des espèces et être beaucoup moins nombreux qu'actuellement. Avoir l'intelligence de faire le choix d'utiliser une découverte ou non. Avoir l'humilité et savoir s'arrêter dans l'erreur, faire marche arrière et en revenir à ce qui n'est que purement sain.
Se garder de répéter encore et encore les erreurs. Garder le bon sens à chaque nouveau choix et être attentifs à ce que la nuisibilité sont évitée.
Si je choisis de vider ces stocks je force les suivants à trouver comment faire sans. Si je choisis de ne pas y toucher, j'ai le temps de vivre les savoirs qui permettent de vivre sans. Et quand il n'y en aura plus je ne serai pas surpris d'avoir à vivre de mes mains et de ma sueur. Et j'aurai encore ce savoir qui permet depuis des millénaires à l'humanité de vivre toujours de la même manière. Et qui n'a pas changé à l'heure actuelle. Et finalement les générations futures auront peut-être des surprises quand les restes de pétrole seront laissé sagement dans les sous-sols par choix averti. Et qu'ils sauront encore comment vivre avec la Nature sans l'usage de technologies obsolètes.

mercredi 14 décembre 2016

A l'heure des méfaits publics, si nombreux qu'ils en paraissent "normaux"

Aux époques des crieurs publics, l'information transmise d'humains à humains avait-elle encore une valeur ?
Il fallait pour qu'elles circulent que certains veuillent bien les clamer haut et fort.
Et pour cela que des relais fassent circuler les informations de place de criée en scènes de théâtres.
Que ceux qui paient le silence des atrocités se regardent au fond,
Que ceux qui soutiennent et transmettent avec transparence et clarté  prennent force et regardent au loin.
Au printemps 2015, sur les hauteurs d'Alsace, des nuages de pollution rendirent la vue à plus de 100mètres impossible certains jours, coupant court la respiration pendant le travail de la terre pour l'implantation des végétaux.
Au syndicat d'Apiculture de Thann (que je remercie encore pour le don précieux qu'ils s'appliquent à être pour celles et ceux qui tiennent à nos précieuses Apis Mellifera) la plupart répondaient que c'était des brumes de chaleurs... le thermomètre ne dépassait cependant guère les 20°C. Pourquoi la plupart n'ont-ils pas supporté de (ne pas) voir la plaine d'Alsace couverte par la pollution préférant prétexter l'absurde ?
Ne sont-ce pas au fur et à mesure des preuves de folies légères et passagères dont il faut se méfier ?
Faudra-t'il attendre de ne plus pouvoir respirer entre le bureau ou le lieu de travail et là où le véhicule à moteur est garé ?
Faudra-t'il encore entendre longtemps à la radio que la pollution est due à un phénomène météorologique de froid à l'approche de l'hiver ?
Croire encore longtemps que les chauffages au bois polluent plus que la génération d'électricité au charbon, pétrol, gaz ou nucléaire ?
Faudra-t'il longtemps pour se souvenir que sans la nature nous ne sommes rien ?
Que sans plantes et animaux pour nous accompagner nous ne serions rien ?
Quand seront considérées les migrations de masse qui fuient la pollution ?
Quand chaque humain se rendra compte de la nécessité que tous mettent les mains dans la terre et dans le fumier pour connaître la valeur d'un repas quotidien ?
Qu'attendent encore la plupart pour vivre dans la nature en symbiose et en harmonie avec l'environnement ?
Combien sommes-nous à crier les aberrations que nous croisons au quotidien ?
Qui se protège contre la pollution au plomb et les folies en découlant ?
Qui aide son prochain à s'en rendre compte pour y faire face plus forts et plus nombreux ?
Qui pense plus loin que son propre bien être et équilibre en l'étant autant que possible pour ce que cela vaut ?
Combien comprennent les Prophéties des Andes pour le service de la planète au delà d'un développement personnel ?
Ne mélangeons pas les Pacifiques qui ne veulent pas employer la violence sous quelques formes que ce soit avec les Passifiques qui restent immobiles devant des massacres.
Combien d'Alep seront encore détruits par des armes fabriquées et vendues pour tuer et causer la désolation. Quel enfant rêvait petit que ses plus beaux rêves soient détruit dans un tel chaos ? Voulons-nous laisser faire longtemps ?
Cela choque-t'il de penser les choses sous cet angle ?
Faut-il encore mâcher longtemps les mots dans une langue diplomatique de complexifications de relations inter-royaumes ? Ou peut-on affronter notre réalité de face ?
Doit-on vraiment demander à beaucoup de citadins de grandes ville la dernière fois qu'ils ont vu la nature ? A quoi ressemble une poule ou un mulet ? Doit-on se rendre compte pour eux que les années défilent sans qu'ils ne s'en rendent plus compte ?
Je continuerai d'ajouter témoignages après témoignages, que l'on essaie de m'arrêter ou non, il est temps que le monde sache et connaisse les choses les plus folles que le monde traverse.
Après avoir largement participé à la mise en place des manifestations lycéennes de Colmar pendant que je préparais mon BAC 'ailes' j'ai pu voir des foules de jeunes plein d'énergie et de volonté, qui avaient des rêves et des buts d'améliorations qui n'ont pas pu trouver d'oreilles à l'écoute de la part de ceux qui dirigent ce que vos enfants vivront, j'ai arrêté. La force et la brutalité des manifestations où l'on se fait tirer à vue, lâcher des chiens militaires sans muselières et gazer à bout portant, ici, en France ne donne pas envie de continuer à vouloir aider un système qui essaie de nous tuer lentement avec des armes interdites d'usage pour les guerres. D'autres systèmes existent et vivent sur cette Terre où l'on ne se fait pas tuer pour une tentative de discussion.
Vouloir convaincre ceux qui s'en foutent est une perte de temps mais ne plus leur accorder quoi que ce soit, strictement, que ce soit du temps, de l'attention, de l'argent, des taxes, des impôts, du financement de péages, de balles de fusils et de bombes vendues en Syrie. Prendre ses responsabilités et en tirer les leçons pour changer de comportements. Il est déjà regrettable que les 50 années qui passèrent ont vu les preneurs de décision faire des choix aussi nuisible. Il est important que tous se sortent d'une torpeur profonde qui touche d'oisiveté la société depuis que la pharmacie et la science distribuent de quoi endormir des éléphants afin de s'enrichir de ceux qui acceptent de ne plus vivre une existence riche de sens, pleine de vie et d'expériences, de joies et de peines, de bonheurs et de souvenirs vrais, vécus, de rencontres et de hasards, avec des animaux, des paysages ou des astres, une existence d'être humain, animal parmi d'autres, évoluant en équilibre parmi le tout. Arrêter les complexifications inutiles. Vivre le monde, le vrai. Pas les machines ou les écrans blafards et ahurissants.
Choisir de vivre soi-même la vie ne me semble pas être des choix existant.
C'est d'une telle évidence que je n'ai pas envie de laisser faire à ma place, un groupe de forcenés se disant politiciens, des choix concernant ce que j'ai à vivre ou non, ce que mes enfants doivent apprendre pour être heureux de vivre ou quoi que ce soit me concernant étant donné qu'ils ne me connaissent pas. Il faudrait en plus que je les paie, que lorsque j'échange une citrouille contre une boîte d’œufs, que je mette une balle de fusil de coté pour que l'état la revende en Afrique pour qu'un enfant appuie sur la gachette ? Il faudrait que sur le travail de la terre que je fournis pour nourrir ma famille une moitié soit prise en charges salariales, que 10% de la moitié qui me reste doive partir à la fin de l'année pour payer mes impôts justifiant un droit de vivre ?
Il faudrait que j'accepte de travailler plus loin qu'a une ou deux bonnes heures de marche vive de là où ma famille vit ?
Rien de cela ne me semble naturel ni sain.
Rien de cela ne m'a été forcé de vivre, lorsque je l'ai choisi, ce fut conscient et volontaire dès que mon âge me le permit.
Et lorsque j'ai décidé de faire sans, bien des surprises m'ont apporté le sourire de me rendre compte de la facilité qu'offre notre monde pour y arriver.
N'ayons pas peur et soyons curieux. 5 ans de changements concrets et profonds.
5 ans pour avoir réagi suffisamment avant de tous dépérir par manque d'air pur.
Si tous acceptent de se regarder en face, de s'imaginer dans le futur un instant, dans 15 ans, se souvenant de ce moment, de ces mots, de ces pensées... Qu'aura-t'il fallu faire pour prouver à tous avoir fait les bons choix ?
Puis-je encore mettre les mains sur le volant de mon véhicule lorsque je sais le monde arabe déchiré par la course au pétrol, les meutres et guerres qui durent encore et encore, grâces à nos gouvernements qui font les comédiens sur la scène d'un mauvais théâtre entre l'humoir noir et le burlesque, jouant tour à tour les ahuris et les bienfaisants.
Pourquoi les radios et télévisions relaie-t'elles des informations aussi vide de sens et inutiles ? Ne vivons-nous pas dans un monde où tant de savoir théoriques sont liés à des pratiques ancestrales qui nécessitent parfois plusieurs vies pour être transmises aux générations suivantes en étant sûrs que ça ait été vraiment compris et pas seulement verbalement dupliqué ?
Quand choisirons-nous d'accorder du temps, de l'énergie ou PAS à ce que nous aimons vraiment ou ce que nous détestons et ce d'une façon vraiment dédiée, vraiment poussée à haut niveau ?
Garder la face, face à ses choix, les épaules droites quand je fais le plein, car la TIPP garantit la sécurité des pipelines qu'il faille organiser une guerre locale pour éradiquer un clan menaçant les installations ou une soi disant attaque terroriste déguisée en un RAID de services secrets allant tuer un humain hypotétiquement jugé dangereux. Discuter avec quelqu'un pour comprendre ses choix et ses actes ? En tirer une leçon pour un futur avec moins de souffrances ? Respecter le droit de vivre libre de chaque existence sur cette planète ?
Laisser pisser encore une fois et faire semblant de ne pas avoir besoin de réagir ?
Etudier assez la psychologie permet de savoir que les foules ont des comportements type qui n'empêchent pas tout un chacun de savoir ces mécanismes et de ne pas se laisser affecter. Réagir quand une agression à lieu dans le métro au lieu d'attendre que quelqu'un le fasse pour agir. Être acitf, présent. Ne pas laisser les opportunités de changer les choses défiler jusqu'à s'en sentir hébété...
Beaucoup de questions auxquelles je cherche des réponses, Beaucoup d'angoisse en me rendant compte de la zombiefication de la population humaine qui semble avoir besoin d'une intervention miraculeuse pour sortir la tête de l'opacité.
Confiant en l'avenir j'essaie de secouer les arbres porteurs de fruits vivants, que les semences d'idées puissent se mettre à germer et prendre forme, que sur le désert qui commence à vouloir prendre place la richesse de la planète bleue refasse surface.
Que finisse la période sombre qui tâche le passé que les générations précédentes ont laissé passivement faire.

Pourquoi ?

Pourquoi dans les villes la place pour les humains doit-elle empêcher les autres formes de vies de pouvoir proliférer ?

Pourquoi autour des villes les terres doivent-elles s'appauvrir par la bouche des citadins vers les stations d'épurations saturées ?

Pourquoi la nature autour des ville suffoque-t'elle à quelques centaines de kilomètres à la ronde ?

Pourquoi à Berlin la baleine ne fut-elle pas écoutée ?

Pourquoi les humains mettent parfois longtemps avant de reconnaître l'intelligence souvent bien plus poussée des animaux ?

Quand seront-ils assez humble pour partager la nature sans en abuser ?

Qui voudrait devoir se séparer de sa Mère-Planète nourricière et véhicule spatio-temporel car elle aurait été si dégradée qu'elle ne serait plus viable ?

Qui veut assumer dans le futur les choix actuels qui se doivent d'être des présents et non une continuation des horreurs que l'histoire à déjà dû supporter ?

Qui veut soutenir la suite de cette troisième guerre planétaire qui tue et éradique bien trop d'espèces sans se soucier du lendemain ?

Qui accepte de se rendre compte qu'on est en plein dedans ?

Qui veut me démontrer le contraire ?

Qui le peut ?

"Demain, de bon matin, je pars seul sans escorte, j'irai sur les chemins retrouver mes amours mortes."
Même seul de ceux que je connais, si j'y vais j'en croiserai d'autres comme moi,
Même seule, la goutte d'eau peu faire des raz-de-marée
Même si nous ne sommes que 3 à 5 % de la population qui y pense, ils ne sont pas plus à essayer de nous gérer... Et ils sont bien trop (pré)occupés pour ne pas être à l'écoute de bien des radios. Il y a les anciennes technologies qui émettent, et les ignorants qui écoutent.........
A bons penseurs, la planètes, les animaux, les plantes, les minéraux et tous les autres appellent à l'aide, trop de plaies aberrantes nécessitent interventions d'urgence. Que l'humanité cesse d'appliquer les choix sombres.

Bribes temporelles, traces d'essais laissées

Il faut, et je le sens. On va et il le faut.
Transmissions d'informations d'outre-temps, transmissions de savoirs séculaires.
Il faut bien qu'avant d'aller ouvrir la porte aux poules je reprenne mes rêves d'antan.
Il faut bien que je réouvre mes portes sur le monde des humains.
Vient le moment où je leur ré-ouvre les bras et où ceux qui comprirent s'approchèrent.
En lisant les lois françaises sur le respect et la protection des animaux, tout le monde est en mesure de porter plainte pour le non-respect de ces lois. Dans les abattoirs ? Non, en ville, en France, et leurs périphéries, dans chaque recoin du monde ou des morceaux de plastique assassinent des milliards d'animaux.
Bientôt reviendra la Nature en force, que ce soit dans le monde des humains tout comme sur cette belle Planète. Toutes les populations humaines devront de gré ou de force réapprendre à vivre aux cotés des autres formes de vies et d'existences à la surface de ce monde terrestre. Et ces grands retours qui ont déjà commencé dans les fonds grondent sourdement pour venir à leur apogée dans les peu d'années à venir. Il est évident qu'avec la pollution dépassant celle de que connu l'empire romain avant de s'écrouler par la folie des cerveaux affectés par ces-mêmes pollutions. Accrochez-vous, humains, accrochez-vous fort car les secousses continueront de plus en plus fort. Soyez vigilants et attentifs, autour de vous beaucoup ont déjà commencé à perdre la raison et à devenir des proies des lies de l'humanité. Beaucoup trop ont pris les habitudes de détruire méticuleusement au travers de beaucoup d'actions tout le long de la journée de ce qui aurait pu être un peu d'air frais, une goutte d'eau non polluée pour la donner à boire à votre fille. Combien financent les balles et les armes meurtrières d'Alep en payant leurs impôts à cet état militaire ? Qui accepte en payant son petrol d'appuyer de soi-même sur cette gâchette ou de poser cette mine anti-vie qui fera exploser dans d'atroces souffrances cette femme ou cet homme que vous aimiez tant ? Qui écoute en se retenant d'imaginer ces atrocités les informations qui sans cesse vous rappellent à quoi servent vos impôts ? Qui veut encore voir ça en face ? Qui accepte encore de financer cela ?

Je n'ose pas imaginer les monstres qui paient au jour le jour le spectacle de l'atrocité, je n'ose pas imaginer ce que vivent au quotidien les journalistes qui essayent de vous éveiller et de vous ouvrir les yeux sur cette réalité financée par les peuples consentants. Nous pouvons étaler sur des générations de réincarnations le rattrapage de nos erreurs mais pourrons-nous respirer aussi longtemps avec un fusil braqué sur notre tête et le pied de l'Être que l'on aime sur le point de se poser sur une bombe ?
Acceptons-nous de fouler du pied ces blessés qui hurlent d'agonie sous ces bombes que nous gouvernements ont voulu? ? N'est-ce pas suffisamment de preuves de la folie ayant pris possession de beaucoup trop de nos contemporains. Et si les derniers rares qui ont du bon sens ou sont sains d'esprit se dépêchaient de ramener à la bonté leurs proches en leur rappelant ces faits simples qui permettraient du jour au lendemain d'arrêter de payer des guerres et ne faire plus que les choix qui ne causent pas toutes ces horreurs ? Et si tout choix pouvant être néfaste était écarté car il y a toujours des choix respectant l'harmonie et les équilibres bien plus vastes que mon petit bonheur quotidien qui s'en fout des atrocités que cela cause à quelques jours de vie ? Aurai-je envie de me rendre compte que cela fait 15 ans que l'on doit faire machine arrière et que tous s'attendent à le faire en attendant ? Quand tout un chacun se responsabilisera et se souviendra que pour vivre il faut d'abord que la planète aille bien ? Avez-vous tous voté le choix d'un vaisseau spatial de secours qui permettra a quelques centaines de sélectionnés de partir vers l'espace pendant que la planète finira d'être totalement morte ? Où voulez vous entretenir ce vaisseau spatial que nous pouvons préserver et dont nous pouvons bénéficier de la beauté si la nature peut prendre sa place dont nous faisons partie sans que les humains aient fini de s'acharner à détruire ?
Qui voudra avoir deux véhicules aux plaques paires et impaires ? Qui voudra que ses enfants le maudisse pour cette pollution établie ? Qui voudra encore feinter ? Combien de temps ? Qui veut ne plus voir le soleil ?

lundi 12 décembre 2016

Bases d'idées pour toutes routes.

Cela fût un temps,
Cela faisait longtemps,
Je n'y avais pas encore pensé mais ces mots sont des formes et des ondes, que peu importe le support huminformatique pour y avoir accès, que c'est soi-même qui se permet d'y accéder pour en faire quelque chose de bon et rien de néfaste.
Il y aurait eu moultes possibilités n'appartenant pas à ce monde et c'est bien ce qui a eu lieu qui constitue la base de cette histoire à venir.
Aimer et apprendre à aimer plus fort. Ne pas limiter cet amour ni en sens, ni en directions, ni en buts ou valeurs. Savoir aimer tout dans son entièreté, savoir percevoir et rayonner, capter et emmètre. Adapter l'intensité et le débit à ce qui est supporté par l'environnement pour ne pas brûler ou saturer les milieux.
La richesse du monde interne est de pouvoir accéder à tout en toutes choses et en tous temps, puiser dans les mémoires génétiques pour y trouver de quoi combler les soi-disant carences. Aussi vrai que le monde externe perceptible par d'autres sens et exactement aussi important. Les yeux nous sont l'eau de la vie avec une attention aussi forte dédiée à sa trouvaille, sa réception et son intégration d'une importance capitale menant à une surutilisation/valeur par rapport à la nourriture que nous apportent les oreilles qui tour à tour prend une importance monumentale rendant difficile de boire en même temps mais pas impossible.  Tout aussi important que de bvoire, manger et cgoûter le monde permet de mieux le ressentir et de différencier les raffinements avec plus de précision et de délices. A peine perturbés par le besoin de toucher, palper, mâ(r)cher le monde de ses sources liquides en ses sources solides qui nous alimentent d'énergies, l'impalpable gazeux nous permet de respirer d'autres énergies encore et de rebondir encore et encore. Fusion symbiotique de superpositions d'énergies diverses ayant les organes dédiés permettant une application d'équilibres divins en une seule et même interface exprimant les (in)formations supérieures sous différents aspects en une seule et même planète vivant sa propre vie.
Formidables neurones de la planète, chaque existence matérielle et non matérielle, animale, végétale, bactérienne, virale, mycètes et prions... vivent et s'activent dans une volonté d'équilibrage et d'harmonisation de ce grand vaisseau spatial qui leur permet tous de voyager au travers du temps, de l'expérience et des univers. Triste est à constater à quel point beaucoup d'humains nagent à contre courant et détruisent sans s'en soucier pour le moment cette magnifique planète qui est de loin celle ayant une diversité de ce genre et d'une telle richesse à préserver, bien différentes des autres planètes les plus proches que nous observons. Nous sommes se vaisseau spatial que les plus fous veulent fabriquer, que d'autres surnomment "l'étoile de la mort" au vu de sa puissance de feu capable de l'auto-détruire en quelques instants. Nous sommes ce magnifique réservoir génétique d'espèces très variées dont nous avons la charge de protéger, entretenir et soigner les différents secteurs en veillant à l'évolution positive de ce grain de sable mémoriel qui voyage sans fin dans un immense univers. Bibliothèque en feu d'une immensité extraordinaire et d'une force de régénération fantastique, il est de nos destins d'éteindre les incendies de haines et de guerres et de préserver la planète Terre nous hébergeant avec autant d'attentions que nécessaire. Invalider tout choix pouvant être néfaste en quelque point que ce soit, n'appliquer que des choix respectant tout dans les moindres détails, libérer la nature qui a été de plus en plus souillée, bétonnée, dégradée, démystifiée, voir anéantie. Rendre à la planète sa beauté d'antan me semble naturel, être humain sur cette terre ne devrait pas impliquer autre chose que d'en prendre soin. Faire en sorte que les cieux redeviennent bleu, que la terre redevienne faste, diversifiée, luxurieuse et grandement vivante. Que les arbres soient vénérés, les plantes admirées, les animaux laissés libre de la peur. Que les humains rayonnent l'amour et la paix, l'harmonie, la joie et le bonheur.
J'ai longtemps appris à aimer sans conditions et c'est la possibilité de recevoir qui a attendu d'apparaître à mon monde que je sois capable de comprendre comment recevoir de cet Amour purement sans souffrir de l'attache qui s'y développe dans certains parcours dont le bouddhisme propose le chemin de l'affranchissement.
J'ai toujours eu l'impression que la plupart de mes contemporains ont des difficultés à comprendre ou à vivre ces notions.
Bien des évolutions sont à venir dans un avenir très proche, décontreaction d'un siècle d'accélération frénétique, tel le lait qui chauffe la population est sur le point de monter en mousse et ce seront la multitude de micro-actions d'individus et de petits groupes d'individus relayés par le bouche à oreilles qui ne cessera pas d'être alimenté par les radios, chaînes de télévision, internet et autres relais informatifs existant et maintenus depuis la nuit des temps à l'insu de la plupart. Ce n'est pas une grosse charge qui brise un barrage mais l'intelligence du placement de petites charges qui fragilisent un ensemble sous pressions qui s'écroule de lui-même se détruisant dans le poids de sa chute, libérant le grand rinçage qui permet le renouveau, retour des équilibres de la nature, libres circulations. C'est tout un chacun par de minuscules choix qui pourra participer à la sauvegarde d'une humanité que nos descendances ne voudraient pas souffrir en pensant à nous mais remercier pour l'effort qui a marqué l'histoire du monde dans le bon sens. Souvenirs que nous avons à créer. Différentes formes d'entités actives distillent et diffusent sur nos moyens de communications des informations utiles à tout un chacun, à une planète qui crie à l'aide, à la nature qui se débat pour retrouve sa santé et sa vigueur. La nature des Hommes, l'Esprit vivant au fond de toutes et tous, l'instinct de survie d'une Humanité comme une seule et même espèce vivant main dans la main avec la planète, voulant survivre même si c'est au détriment des quelques peu d'entre nous qui ne veulent pas arrêter les folies. Bientôt la plupart détruiront les armes et refuseront de se battre dans un monde qui souffre déjà assez. Inutile de continuer cette troisième guerre mondiale pour pouvoir comprendre que toutes ces souffrances n'ont pas à avoir lieu et qu'un monde sans est tellement meilleur que cette évidence jaillira bientôt au su de tous. Arrêter de faire à tous prix, penser à l'équilibre à établir pour que le futur redevienne agréable à vivre. Trop d'animaux suffoquent de nos erreurs et ce seront aussi vite que nos frères mammifères que nous seront mangés par les plantes disparaissant en tant qu'espèce existant sous cette forme. Ce serait sans compter ce magnifique instinct qui relie tous les êtres vivants en une grande symphonie harmonieuse, se rappelant les uns aux autres ce qu'est le bonheur, la joie de vivre, le plaisir de pouvoir s'épanouir dans un paradis préservé. Enfin libéré des souffrances expérimentées dans le passé. Dans quelques instants tous devront choisir activement face aux choix qui participent en quoique ce soit ou non à cette biodégradation, choix actifs qui d'un moment au suivant ne mettront de valeur qu'en ce qui est valable au bon sens d'une survie multimillénaire, choix qui arrêteront dans l'instant les systèmes néfastes et activeront dans le même temps les systèmes que la planète à créé bien avant nous et que nous devons préserver au delà de pouvoir en profiter allègrement. Le vote de chaque instant est de permettre à toutes formes de vies de continuer sereines ou de continuer dans les mauvaises directions. Le choix de chaque acte est entre les mains de tous les protagonistes. Être heureux est le premier pas pour laisser venir à soi des idées mélioratives permettant de partager son bonheur sans amoindrir chaque part. Comme les plantes profitant chacune de la lumière du soleil, le bonheur se partage sans se diviser. Être heureux plus complètement c'est être heureux sur plusieurs plans ou niveaux. C'est en tant que Coeur, Ventre et autres organes je suis satisfait, c'est qu'en tant qu'organisme d'organes je tiens un équilibre merveilleux, petit bout de vie dans un monde vaste. Être heureux à plus haut niveau est possible si en tant qu'espèce, humanité, ou animaux nous pouvons nous sentir heureux, plus haut encore c'est en tant que planète, petit bout de vie dans une immensité qui respire 8 fois par secondes, à plus haut niveaux encore, si on regarde bien avec nos yeux, deux images par secondes arrivent à notre cerveau en plus qui permettent de percevoir ce que serait le tout sans la matière, afin d'avoir quand même 20% de notre vision occulaire qui nous relaie l'info à un cerveau dépassé qui essaye de rendre la perception du tout cohérente et qui trouve plus facile de ne pas déranger la conscience avec ces deux images en plus. Bien qu'avec la confiance qu'établit un film avec ses 22 images secondes on semble hypnotisé et vivre intensément quelque chose n'occupant pourtant qu'une petite fraction du champ visuel. Que voit-on et qu'accepte-t'on de voir réellement ? Peut-on écouter nos pensées en même temps qu'on les énonce, et qu'en ce même instant nous percevons de nos yeux de plus en plus d'images par secondes comme des sportifs de haut niveau qui augmentent par entraînements spécifiques le nombre de cellules dédiées et par d'autres formes d'entraînements augmentent la capacité individuelle de chaque cellule utile. Sommes-nous dignes d'être à l'image de ce qui nous constitue tout comme nous faisons partie de ce qui constitue cette planète ? Jugeons-nous en notre corps une cellule musculaire, hépatique ou neuronale, musculaire ou les hormones comme certains humains se permettent de le faire ? L'accepteraient-ils de l'organisme les englobant à si peu de barreaux d'échelles de distances ?
L'ouverture d'esprit ne demande pas d'effort, au contraire, c'est comme une détente, un soulagement, un bon souvenir que l'on avait oublié, une fable qu'il serait agréable de croire ne serait-ce que quelques heures puisque nous avons cette faculté incroyable d'imaginer l'impossible, rapprochant peu à peu les fruits de nos imaginaires et de nos consciences de ces corbeilles que sont les plan(s)ètes des mondes de la matière et de la temporalité. Comme de retrouver la Source, se souvenir en faire partie tout comme les roches et les molécules, les mouvements et les renouveaux. Comme de se souvenir d'une évidence qui se cachait comme un dolmen au milieu d'une plaine, ou dap' percevoir les plans parallèles et de se souvenir par évidence que certains esprits restent proches de nous et nous irradient de bienveillance par bonté, que nous les respections ou non, que nous prenions le temps de les écouter semble un minimum étant donné leur facilité d'accès aux Sagesses. Rester digne de leurs attentions et les honorer au travers d'actes qu'on créé dans ce monde de la matière qui est grâce à la densification de volontés d'une force immense ayant rencontres et respirations en certaines fréquences permettant ce scintillement planétaire matériel.
Être incarné est une aventure longue et somme toute d'un équilibre extrêmement fin qu'il n'est pas toujours aisé de maintenir et de développer dans un environnement trop chaotique où les Horreurs sous leurs diverses expressions sont encore trop véhiculées et présentes. Mais si les êtres incarnés se souvenaient tous l'être pour vivre la beauté et le coté merveilleux de cette planète, ils n'auraient aucun mal à se souvenir aussi si l'on s'est incarné une fois, cela pourrait se reproduire. Ici ou ailleurs, en ce temps ou dans d'autres. D'où l'intérêt de faire en sorte que le monde retrouve une santé et un équilibre, une harmonie et une vivacité empreinte d'amour, vibrant comme un seul et même organisme harmonieux et agréable à vivre. Ne soyons pas la gale de notre vaisseaux cosmique. N'ayons pas à regretter plus tard nos actes et leurs conséquences en faisant les bons dès que l'opportunité se présente. Cherchons dans notre passé quels choix pourraient être modifiés afin d'être des portes qui ont été fermées pour être réouvertes dès que l'on y repense. Osons reprendre nos valeurs chères qui ont été oubliées ou laissées de coté à un moment ou à un autre du chemin. Retrouvons dans les traces de nos passés les indices que nous nous sommes laissés au bord du chemin afin d'avoir toujours et encore de nouvelles choses à découvrir dans cette seule et unique expérience que nous partageons tous d'une manière bien plus vaste que notre corps. Soyons des expressions du monde, de la nature, de la bonté et de ce qui peut être de plus beau et de plus apprécié maintenant, par soi ou d'autres, plus tard et toujours. Vibrations synchrones de cette énergie qui nous permet de prendre forme dans un tout merveilleux.