Research et foundings

lundi 12 décembre 2016

Bases d'idées pour toutes routes.

Cela fût un temps,
Cela faisait longtemps,
Je n'y avais pas encore pensé mais ces mots sont des formes et des ondes, que peu importe le support huminformatique pour y avoir accès, que c'est soi-même qui se permet d'y accéder pour en faire quelque chose de bon et rien de néfaste.
Il y aurait eu moultes possibilités n'appartenant pas à ce monde et c'est bien ce qui a eu lieu qui constitue la base de cette histoire à venir.
Aimer et apprendre à aimer plus fort. Ne pas limiter cet amour ni en sens, ni en directions, ni en buts ou valeurs. Savoir aimer tout dans son entièreté, savoir percevoir et rayonner, capter et emmètre. Adapter l'intensité et le débit à ce qui est supporté par l'environnement pour ne pas brûler ou saturer les milieux.
La richesse du monde interne est de pouvoir accéder à tout en toutes choses et en tous temps, puiser dans les mémoires génétiques pour y trouver de quoi combler les soi-disant carences. Aussi vrai que le monde externe perceptible par d'autres sens et exactement aussi important. Les yeux nous sont l'eau de la vie avec une attention aussi forte dédiée à sa trouvaille, sa réception et son intégration d'une importance capitale menant à une surutilisation/valeur par rapport à la nourriture que nous apportent les oreilles qui tour à tour prend une importance monumentale rendant difficile de boire en même temps mais pas impossible.  Tout aussi important que de bvoire, manger et cgoûter le monde permet de mieux le ressentir et de différencier les raffinements avec plus de précision et de délices. A peine perturbés par le besoin de toucher, palper, mâ(r)cher le monde de ses sources liquides en ses sources solides qui nous alimentent d'énergies, l'impalpable gazeux nous permet de respirer d'autres énergies encore et de rebondir encore et encore. Fusion symbiotique de superpositions d'énergies diverses ayant les organes dédiés permettant une application d'équilibres divins en une seule et même interface exprimant les (in)formations supérieures sous différents aspects en une seule et même planète vivant sa propre vie.
Formidables neurones de la planète, chaque existence matérielle et non matérielle, animale, végétale, bactérienne, virale, mycètes et prions... vivent et s'activent dans une volonté d'équilibrage et d'harmonisation de ce grand vaisseau spatial qui leur permet tous de voyager au travers du temps, de l'expérience et des univers. Triste est à constater à quel point beaucoup d'humains nagent à contre courant et détruisent sans s'en soucier pour le moment cette magnifique planète qui est de loin celle ayant une diversité de ce genre et d'une telle richesse à préserver, bien différentes des autres planètes les plus proches que nous observons. Nous sommes se vaisseau spatial que les plus fous veulent fabriquer, que d'autres surnomment "l'étoile de la mort" au vu de sa puissance de feu capable de l'auto-détruire en quelques instants. Nous sommes ce magnifique réservoir génétique d'espèces très variées dont nous avons la charge de protéger, entretenir et soigner les différents secteurs en veillant à l'évolution positive de ce grain de sable mémoriel qui voyage sans fin dans un immense univers. Bibliothèque en feu d'une immensité extraordinaire et d'une force de régénération fantastique, il est de nos destins d'éteindre les incendies de haines et de guerres et de préserver la planète Terre nous hébergeant avec autant d'attentions que nécessaire. Invalider tout choix pouvant être néfaste en quelque point que ce soit, n'appliquer que des choix respectant tout dans les moindres détails, libérer la nature qui a été de plus en plus souillée, bétonnée, dégradée, démystifiée, voir anéantie. Rendre à la planète sa beauté d'antan me semble naturel, être humain sur cette terre ne devrait pas impliquer autre chose que d'en prendre soin. Faire en sorte que les cieux redeviennent bleu, que la terre redevienne faste, diversifiée, luxurieuse et grandement vivante. Que les arbres soient vénérés, les plantes admirées, les animaux laissés libre de la peur. Que les humains rayonnent l'amour et la paix, l'harmonie, la joie et le bonheur.
J'ai longtemps appris à aimer sans conditions et c'est la possibilité de recevoir qui a attendu d'apparaître à mon monde que je sois capable de comprendre comment recevoir de cet Amour purement sans souffrir de l'attache qui s'y développe dans certains parcours dont le bouddhisme propose le chemin de l'affranchissement.
J'ai toujours eu l'impression que la plupart de mes contemporains ont des difficultés à comprendre ou à vivre ces notions.
Bien des évolutions sont à venir dans un avenir très proche, décontreaction d'un siècle d'accélération frénétique, tel le lait qui chauffe la population est sur le point de monter en mousse et ce seront la multitude de micro-actions d'individus et de petits groupes d'individus relayés par le bouche à oreilles qui ne cessera pas d'être alimenté par les radios, chaînes de télévision, internet et autres relais informatifs existant et maintenus depuis la nuit des temps à l'insu de la plupart. Ce n'est pas une grosse charge qui brise un barrage mais l'intelligence du placement de petites charges qui fragilisent un ensemble sous pressions qui s'écroule de lui-même se détruisant dans le poids de sa chute, libérant le grand rinçage qui permet le renouveau, retour des équilibres de la nature, libres circulations. C'est tout un chacun par de minuscules choix qui pourra participer à la sauvegarde d'une humanité que nos descendances ne voudraient pas souffrir en pensant à nous mais remercier pour l'effort qui a marqué l'histoire du monde dans le bon sens. Souvenirs que nous avons à créer. Différentes formes d'entités actives distillent et diffusent sur nos moyens de communications des informations utiles à tout un chacun, à une planète qui crie à l'aide, à la nature qui se débat pour retrouve sa santé et sa vigueur. La nature des Hommes, l'Esprit vivant au fond de toutes et tous, l'instinct de survie d'une Humanité comme une seule et même espèce vivant main dans la main avec la planète, voulant survivre même si c'est au détriment des quelques peu d'entre nous qui ne veulent pas arrêter les folies. Bientôt la plupart détruiront les armes et refuseront de se battre dans un monde qui souffre déjà assez. Inutile de continuer cette troisième guerre mondiale pour pouvoir comprendre que toutes ces souffrances n'ont pas à avoir lieu et qu'un monde sans est tellement meilleur que cette évidence jaillira bientôt au su de tous. Arrêter de faire à tous prix, penser à l'équilibre à établir pour que le futur redevienne agréable à vivre. Trop d'animaux suffoquent de nos erreurs et ce seront aussi vite que nos frères mammifères que nous seront mangés par les plantes disparaissant en tant qu'espèce existant sous cette forme. Ce serait sans compter ce magnifique instinct qui relie tous les êtres vivants en une grande symphonie harmonieuse, se rappelant les uns aux autres ce qu'est le bonheur, la joie de vivre, le plaisir de pouvoir s'épanouir dans un paradis préservé. Enfin libéré des souffrances expérimentées dans le passé. Dans quelques instants tous devront choisir activement face aux choix qui participent en quoique ce soit ou non à cette biodégradation, choix actifs qui d'un moment au suivant ne mettront de valeur qu'en ce qui est valable au bon sens d'une survie multimillénaire, choix qui arrêteront dans l'instant les systèmes néfastes et activeront dans le même temps les systèmes que la planète à créé bien avant nous et que nous devons préserver au delà de pouvoir en profiter allègrement. Le vote de chaque instant est de permettre à toutes formes de vies de continuer sereines ou de continuer dans les mauvaises directions. Le choix de chaque acte est entre les mains de tous les protagonistes. Être heureux est le premier pas pour laisser venir à soi des idées mélioratives permettant de partager son bonheur sans amoindrir chaque part. Comme les plantes profitant chacune de la lumière du soleil, le bonheur se partage sans se diviser. Être heureux plus complètement c'est être heureux sur plusieurs plans ou niveaux. C'est en tant que Coeur, Ventre et autres organes je suis satisfait, c'est qu'en tant qu'organisme d'organes je tiens un équilibre merveilleux, petit bout de vie dans un monde vaste. Être heureux à plus haut niveau est possible si en tant qu'espèce, humanité, ou animaux nous pouvons nous sentir heureux, plus haut encore c'est en tant que planète, petit bout de vie dans une immensité qui respire 8 fois par secondes, à plus haut niveaux encore, si on regarde bien avec nos yeux, deux images par secondes arrivent à notre cerveau en plus qui permettent de percevoir ce que serait le tout sans la matière, afin d'avoir quand même 20% de notre vision occulaire qui nous relaie l'info à un cerveau dépassé qui essaye de rendre la perception du tout cohérente et qui trouve plus facile de ne pas déranger la conscience avec ces deux images en plus. Bien qu'avec la confiance qu'établit un film avec ses 22 images secondes on semble hypnotisé et vivre intensément quelque chose n'occupant pourtant qu'une petite fraction du champ visuel. Que voit-on et qu'accepte-t'on de voir réellement ? Peut-on écouter nos pensées en même temps qu'on les énonce, et qu'en ce même instant nous percevons de nos yeux de plus en plus d'images par secondes comme des sportifs de haut niveau qui augmentent par entraînements spécifiques le nombre de cellules dédiées et par d'autres formes d'entraînements augmentent la capacité individuelle de chaque cellule utile. Sommes-nous dignes d'être à l'image de ce qui nous constitue tout comme nous faisons partie de ce qui constitue cette planète ? Jugeons-nous en notre corps une cellule musculaire, hépatique ou neuronale, musculaire ou les hormones comme certains humains se permettent de le faire ? L'accepteraient-ils de l'organisme les englobant à si peu de barreaux d'échelles de distances ?
L'ouverture d'esprit ne demande pas d'effort, au contraire, c'est comme une détente, un soulagement, un bon souvenir que l'on avait oublié, une fable qu'il serait agréable de croire ne serait-ce que quelques heures puisque nous avons cette faculté incroyable d'imaginer l'impossible, rapprochant peu à peu les fruits de nos imaginaires et de nos consciences de ces corbeilles que sont les plan(s)ètes des mondes de la matière et de la temporalité. Comme de retrouver la Source, se souvenir en faire partie tout comme les roches et les molécules, les mouvements et les renouveaux. Comme de se souvenir d'une évidence qui se cachait comme un dolmen au milieu d'une plaine, ou dap' percevoir les plans parallèles et de se souvenir par évidence que certains esprits restent proches de nous et nous irradient de bienveillance par bonté, que nous les respections ou non, que nous prenions le temps de les écouter semble un minimum étant donné leur facilité d'accès aux Sagesses. Rester digne de leurs attentions et les honorer au travers d'actes qu'on créé dans ce monde de la matière qui est grâce à la densification de volontés d'une force immense ayant rencontres et respirations en certaines fréquences permettant ce scintillement planétaire matériel.
Être incarné est une aventure longue et somme toute d'un équilibre extrêmement fin qu'il n'est pas toujours aisé de maintenir et de développer dans un environnement trop chaotique où les Horreurs sous leurs diverses expressions sont encore trop véhiculées et présentes. Mais si les êtres incarnés se souvenaient tous l'être pour vivre la beauté et le coté merveilleux de cette planète, ils n'auraient aucun mal à se souvenir aussi si l'on s'est incarné une fois, cela pourrait se reproduire. Ici ou ailleurs, en ce temps ou dans d'autres. D'où l'intérêt de faire en sorte que le monde retrouve une santé et un équilibre, une harmonie et une vivacité empreinte d'amour, vibrant comme un seul et même organisme harmonieux et agréable à vivre. Ne soyons pas la gale de notre vaisseaux cosmique. N'ayons pas à regretter plus tard nos actes et leurs conséquences en faisant les bons dès que l'opportunité se présente. Cherchons dans notre passé quels choix pourraient être modifiés afin d'être des portes qui ont été fermées pour être réouvertes dès que l'on y repense. Osons reprendre nos valeurs chères qui ont été oubliées ou laissées de coté à un moment ou à un autre du chemin. Retrouvons dans les traces de nos passés les indices que nous nous sommes laissés au bord du chemin afin d'avoir toujours et encore de nouvelles choses à découvrir dans cette seule et unique expérience que nous partageons tous d'une manière bien plus vaste que notre corps. Soyons des expressions du monde, de la nature, de la bonté et de ce qui peut être de plus beau et de plus apprécié maintenant, par soi ou d'autres, plus tard et toujours. Vibrations synchrones de cette énergie qui nous permet de prendre forme dans un tout merveilleux.

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