Enfin, j’en ai
trouvé.
Qui, eux, me comprennent.
Simplement, tels que
l’on est,
Nous avons pu discuter.
Se reconnaître, se
comprendre.
S’échanger, ce qui, depuis toujours,
Attendait
que l’on se trouve.
Pour des heures d’échanges,
Naturels,
agréables, accompagnés de moultes frissons.
Un nouveau jour se
lève,
Sur la Montagne
Sacrée.
But d’un pélérinage,
Aux chemins d’accès
diversifiés.
Elle allait confiante,
Sereine et
contente.
Lors de son chemin,
Se mit à jour et
avança.
Vers ce qu’elle veut, elle y va.
Si certains
descendent du singe,
Il y en a qui y montent.
Chemins
voisins, tels des destins,
Liés, croisés, pour aller voir plus
loin.
Quelles seraient les
surprises,
Qui seront trouvées au bord des voies,
Parsemées
avec amour,
Cultivées avec joie.
Elle rendait hommage à
toutes les vies,
Se dédiait au soin des Animaux.
Don sacré
et dévoué,
Ouvrage poussé à hauts niveaux.
C’est
qu’elle aime ce qu’elle fait,
Et pour cela, est
encouragée.
Elle transmet depuis tant d’années,
Des énergies
subtiles que je décelais.
Source vive et rafraîchissante,
Je
sais où la trouver,
Lorsqu’elle
s’ouvre à moi,
Se sait
écoutée.
Partages sensés,
Aux coeurs ouverts,
Inversés.
Changement
d’une Dame,
Que je voyais bouleversée,
Extrapolation
d’une âme,
Voyant sa sainteté.
Rassurée, elle
reprenait,
Comme la Lune, sa course suivait.
Attractive et
attirée,
L’énergie nous tend vers ce que l’on aime,
Ce
que l’on aurait à vivre.
Détente, paix et harmonie,
Lui
arrivent par vagues successives.
De succès en réussites,
Elle
prend conscience et vite,
Essaye de comprendre.
Ensuite,
elle ira vers un Soleil
Dont elle aime les lumières.
Trouver
réponses à ses questions solitaires.
Certains l’avaient
testé,
Approuvé, reconnu.
Il le savait, il l’avait
prévu.
Fin d’un monde malmené,
Il vint s’allumer,
comme torche de la Liberté.
Fier et droit,
Il marche d’un bon
pas.
Allure entraînante
et difficile à suivre,
Pour qui, entraîné,
est,
Il suffit de suivre
et se laisser porter.
Par hasard, l’essai permet d’avancer.
Sur ces routes
longtemps annoncées,
Une foule se
pressait.
Certaines, aguerries, savaient trouver,
Des
raccourcis, des voies lactées.
En profitaient,
puisqu’elles le pouvaient.
Elles se savaient
les bienvenues,
Et respectaient leurs venues.
Ouverte et
positive,
Elle se souvient du chemin.
Radieuse et
rayonnante,
Elle le parcourt et
revient,
Emplie d’espérances,
De bon matin,
Sourire au monde,
Qui la voit de loin.
Et ceux, que cela
choquerait,
Le vivent avec douceur.
Il était encore
mineur,
Lorsqu’il expérimenta,
Pour la première fois,
La télépathie
directe.
Intrigué depuis le plus jeune âge,
Il le savait
et s’entraînait.
Patient et Sage,
Il sait à qui le
montrer.
Preuves en images,
Prêtes à le
démontrer.
Schémas concrets,
Faciles à expliquer.
Facile
à dire, écrire, penser,
L’art et la manière se chargent de
l’effet.
Ouvertes de plein coeur,
Les âmes se
nourrissent,
Encore et toujours,
D’énergies
digestibles.
Tout organisme a une fonction.
Fonctionnalités
diverses et partagées.
Outils, techniques improvisées,
De
concert, ils s’appliquaient.
Du mieux qu’il le
pouvaient,
Sourire, ils essayaient.
Souvenirs,
gaité.
Reparties d’un bon pied,
Les voilà égales, en
toute équité.
Face à l’aventure,
Qui continue et
dure,
Elles s’épaulaient à tour de rôles,
Soutenaient
les unes, secouraient les autres.
Groupe en flèche,
Parti
pour sa grande migration,
C’est un peuple qui bouge,
Danse
à en devenir rouge.
Peaux tendues, les tambours
résonnent.
Entendus, les messages sont transmis.
Feux du Rohan,
allumés,
Signaux puissants, perçus, observés.
Transmis,
car, depuis longtemps,
Ils étaient préparés.
Trompettes
de Jéricho,
Rallient les mammouths laineux.
Se défont les
nœuds,
Tissent de nouvelles toiles.
Mise à jour des
matrices,
Yeux fermés, ils se plissent.
S’entraident, se
polissent.
Enroués, retrouvent
la voix.
Concernés, ressentent l’émoi.
Connectés, ils se
transmettent des fois,
Liées, elles expriment à la
foi :
Sérénité, écoute de soi,
Paix et Sources
d’eau de vie.
Protégées elles sont,
Pour les préserver
comme il se doit.
Afin que dans longtemps,
On puisse encore
entendre au coin du feu,
Cette légende, contée dans tous les
peuples du monde.
Îvres de joie,
Tous transportés,
Ils
arrivaient à avancer.
Main dans la main,
Savent
aller,
Joyeusement, évoluer.
Tout est prêt, facilité.
Il
suffit de s’y pencher.
Aimer suivre ce que l’on aime,
Ceux
que l’on aime, suivent ce que l’on est.
Ils savent et
comprennent,
Suffit de le leur demander.
Ils offrent et
donnent,
Partagent et rassemblent.
Unissent et
scellent,
Ceux,
Qui,
Comme Ulysse, ont vu
un beau mirage.
Tous attendent ce virage,
Sortent le genou
et se couchent.
Amorçent l’approche de ce rivage,
Qui
permet d’appercevoir ce village.
Quand les cloches
sonnent,
Tous se rappellent et y pensent.
Certains me
comprennent,
D’autres me
pensent fou.
Ils le sont car il y arrivent, ou y pensent.
C’est
long pour moi,
Et nous y travaillons.
Sans relâche depuis
des mois.
Des siècles, des millénaires ont passé,
Qui
préparaient en amont,
Ce qui a commencé.
Les
retardataires sont ceux restés dans le passé.
Les
visionnaires, des futurs sont revenus.
Missionnaires légendaires
inouïs,
Ils avaient le don d’être compris,
En bougeant
simplement le long du dos,
Leurs vibrations profondes,
Qui,
émises touchaient les âmes par une Onde.
Irrésistible comme
l’attraction terrestre,
Invisible comme les chants magnétiques
qui restent.
Flammes du Bengale,
Torches et
bougies,
Soufflent toutes le même vœu.
D’une seule
mèche alllumée,
L’étincelle court et se propage.
Le
long de la ficelle étirée,
Que tout le monde connaît.
Au
bout se trouve cette charge déclarative,
Fiction
narrative,
Inspirations hâtives et souffles longs et
affinés.
Attisent doucement la braise, qui rougeoie en
paix.
Finement entretenue, elle survit aux hivers.
Survient,
en cas de froid, qu’elle se réveille.
S’active, grandisse
et fasse une Flamme.
Celle qui d’un
coup,
Embrase le fagot,
Qui réchauffe d’un
seul lot,
Ceux attroupés, qui savent où trouver.
Cercles
de feux, et moments sacrés,
Crééent des lieux qui sont
harmonisés.
Ils avaient
retrouvés les grimoires anciens,
Les usaient moins, en se
souvenant,
Protégeant ainsi, les étoiles du firmament.
Sorts
de la planète,
Celle qui est en fête,
Pour l’avoir en
tête, fais-comme moi,
Répètes-les quelques fois,
De plus
en plus lentement,
En prenant soin, d’articuler
proprement.
Rendant audible, la forme des sons.
Rythmique
paisible des nuages dans le vent.
Vois dans le ciel, cette main
qui se tend.
Reprends maintenant plus rapidement,
Joue des
syllabes, pour rebondir, prends élan.
Ce toi, tu découvres.
Maintenant, fasciné,
tu explores
Ce qu’il y a derrière les portes dont tu as les
clés.
Ils se trouvent, ces trésors,
Il suffit de les
chercher.
Un visage, ils ont
de toute évidence.
Le sourire, savent le produire.
Une
cellule, une glande, un cerveau,
Se musclent grâce aux
travaux.
Il m’a fallu, au cours des siècles passés,
rassembler et unifier.
Me concentrer sur la dilatation pour
dilater ma concentration.
Même avec des ‘Si ! Si on...’
nous y sommes parvenus.
C’est dire que tout est au menu.
Les
nerfs gisent : « Ah, si on... »
Sens cette
pulsation neuronale,
De synapses en interactions,
Qui
s’activent en réseaux électromagnétiques.
Résonnances
fantastiques d’organismes sychrétiques,
Réactions
électriques de faisceaux sensibles,
Aux ondes, vibrations,
influx électriques,
Les Bip Bip des haut-parleurs
frénétiques,
Interactions entre monde invisible et celui du
son,
Réactions intuitives et prolifération.
Contamination
collective,
De passions olfactives.
Entraînent les reines,
dans cette danse,
Elles sont, dansent, chantent et pensent.
Nous les aimons
ainsi :
Libres.